Lorsque L’Attente Accroit Notre Plaisir

J’ai tellement envie de toi depuis si longtemps. Mon esprit n’a cessé d’imaginer cet instant. Les images se sont succédées, plus tendres et plus folles les unes que les autres !

Partagé entre l’envie, le désir, et le plaisir de nous faire plaisir, comment te le montrer, comment apprécier ce moment tant attendu... Ma hantise serait que, dans la précipitation, je sois si excité que je ne tienne pas plus de quelques minutes.... J’en serai doublement frustré... Il faut que je magnifie cette rencontre. Je sais que toi aussi tu es impatiente, alors je pense que ce que je te réserve saura nous satisfaire tous les deux.

10h30, nous nous retrouvons sur le parking... Tu t’arrêtes à quelques mètres de ma voiture. La portière s’ouvre et je découvre une longue jambe, fine pointer le bout du pied... Puis, ton visage apparait, le sourire aux lèvres. Et cette tendre habitude de pencher délicatement la tête quand tu me souris... Hum, si je pouvais garder cette image dans ma tête tout le temps.... Ce ne serait pas la seule, mais elle illustrerait bien la couverture de l’album....

Vêtue de cette jolie robe noir et blanche, courte, tu t’avances vers moi... Féline, radieuse... Est-ce vraiment vers moi que tu te diriges ? Mes doutes disparaissent dès que tu poses ta main sur ma joue et que tu apposes un baiser sur l’autre... La discrétion est de mise... Pas d’effusion en public... Gardons nos marques de tendresse pour nous...

D’un geste du bras, je t’invite à me suivre. Je reste à tes côtés, non sans te guider. Nous remontons le corridor extérieur de l’hôtel. Impassible, tu te laisses guider, ne sachant encore quelle chambre nous accueillera.

Je ralentis le pas et je sors de ma poche la carte magnétique. J’ouvre la porte. Je te sens derrière moi.... Je me retourne. Je jette un coup d’œil autour : personne. Juste le bois mitoyen de l’hôtel. Je me penche pour te prendre dans les bras à ta grande surprise.

Ni une ni deux, je t’enlève dans la chambre. La situation te fait rire et te charme aussi. Tant de retenue sur le parking... et là, c’est l’envolée ! D’un coup de pied, je scelle la chambre. Notre tourbillon s’arrête. Nos yeux ne se quittent pas. Qui osera briser cet instant ?

Je te pose délicatement au sol. Mais encore lovée dans mes bras, je te saisis pour t’embrasser langoureusement.

La chambre est petite. Au bout, une petite salle de bain fait face à nous. Pas de porte, juste une sorte de paravent. Nous nous reflétons dans le miroir. De moi, caché derrière toi, tu ne vois que mes mains posées sur tes épaules et mon visage.

Nos yeux s’observent. Qui est donc cette belle femme que je vois là ? Ma main glisse sur ton épaule... Mince, dans le miroir aussi !! Trêve de plaisanterie... Les yeux rivés dans les tiens, je commence à saisir le lobe de ton oreille du bout de lèvres... Machinalement, tu penches la tête pour m’offrir ton cou. Mes lèvres descendent le long, assistées du bout de ma langue qui pointe.... Je me laisse guider par cette veine qui bat au rythme de ton cœur. Mais mon avancée est très vite stoppée par ta robe... Mes mains œuvrent dans ton dos. Elles ont déjà repérées la fermeture éclair. Un rapide coup d’œil pour m’assurer de la justesse de la découverte, et un régulier cliquetis se fait entendre.

Mes mains surgissent derrière tes épaules et se glissent sous l’ouverture, juste à la base de ton cou. Immobile, tu te laisses dénuder. La robe passe tes épaules, descends le long de tes bras pour s’arrêter à tes poignets. Je regarde, j’admire. Ton buste, ainsi découvert, s’offre à moi, ou en tout cas à mes yeux. Un merveilleux soutien gorge de dentelle surligne les courbes de ta poitrine. De la vue plongeante que j'ai depuis ton épaule, je crois surprendre une petite pointe qui en émerge...

Mes mains libèrent la robe de tes poignets... Aucune de faute de goût... Bien au contraire. La robe tombe sur tes chevilles.
.. Ton immobilité m’excite : tu es à moi à cet instant. Toute la beauté de ton corps rayonne, se reflète dans le miroir. Tu te vois avec mes yeux... Comprendras-tu enfin combien je te trouve belle ? Voila celle que je vois... Celle qui hante mon esprit, que je désire tant... Te reconnais-tu dans ce reflet ?

Je ne peux pas résister au plaisir de libérer tes seins de leur carcan. Tu ne prends même pas la peine de le retenir, alors que je l’accompagne. Tes seins s'offrent, appelant au plaisir. Mon regard longe tes hanches, je découvre ton corps sous un autre angle. Je n’ai qu’à glisser mes doigts de part et d’autres de ton string pour t’en débarrasser. Seuls tes escarpins resteront en souvenir de cette tenue.

Je voudrais te prendre là, dans mes bras. Je t’enserre tendrement, j’admire ce que j’ai découvert, à tous les sens du terme.

- Allez, file sous la douche, accompagné d’une petite claque coquine sur la fesse.

Déçue, j’en doute... Tu sais très bien que ce n’est que le début...

Je n’en reste pas moins passif en t’attendant. J’épis chaque bruit pour guetter ta sortie.

L’eau cesse de couler. Je me mets en ”poste”, juste le long de la cloison de la salle de bain.

Tu ressors et tu me cherches du regard. Avant même que tu m’aies repéré, je passe derrière toi. Munie d’un foulard, je l’appose sur tes yeux. Tu sursautes un instant, mais très vite, tu te laisses faire.

- Maintenant, devines mes intentions... sens, ressens, écoute ton corps.....

Déjà, je te sens à l’écoute, guettant le moindre bruit, le moindre courant d’air trahissant ma présence, mes intentions...

Tel un prédateur, je tourne autour de cette proie, conciliante... Par quoi commencer ? L’image de ton corps tout à l’heure me hante... Tant de beauté, je ne saurais où consacrer mes attentions sans avoir l’impression de frustrer une autre partie de toi.... Mais il faut bien que je me jette à l’eau.
..

Le peignoir que tu as revêtu à la hâte laisse entrevoir ta peau, encore humide. Je m’approche du haut de ta poitrine. Du bout de la langue, je me délecte de ces quelques gouttes. Tu trésailles au contact soudain de ma langue.. Tu ne m’attendais pas là ? Hum, la douceur de ta peau mêlée du parfum de ton bain douche... un régal... Je recule... enlever le peignoir ? Trop facile... Trop attendu.

Je mets au sol, juste à tes pieds. Un petit baiser juste dessus. Tes orteils se crispent un instant... Je continue le long de ta cheville.

Tu écartes légèrement les jambes. Décision judicieuse. Anticiperais-tu ? Serais-je trop prévisible ? Je me mets sur le dos, la tête entre tes pieds. Je peux admirer tes longues jambes que j’ai tant envie de remonter. Plus haut, je ne discerne pas très bien, caché par le tissu et tes jambes... Mais je sais très bien ce qui s'y cache.

Je passe d’une cheville à l’autre. Mais il m’en faut plus. Je me redresse un peu. Je remonte le long de tes jambes. L’espace est de plus en plus étroit, coincé entre ton corps et le peignoir. Je force sur la ceinture pour me frayer un passage. J’arrive juste devant ton sexe, soyeux.

Je tourne autour, j’embrasse le côté de tes cuisses qui se raidissent sous mes coups de langues.

Je n’en peux plus. Mes doigts remontent et écartent doucement tes cuisses. Est-ce l’excitation ou les reste de la douche ?

Tandis que ma langue se faufile entre tes lèvres supérieures, mes doigts caressent doucement ton entre jambe.

Ce n’est certainement plus les restes de la douche que je sens là. Mes doigts glissent désormais, les uns contres les autres. J’enfonce délicatement le bout d’un premier doigt. Ton sexe est chaud, humide à souhait. Déjà, il est rejoint par un autre doigt qui est accueilli aussi chaleureusement. Ma langue ne chaume pas non plus.

Je dois faire des choix... J’écarte délicatement tes lèvres. Ma langue a désormais tout loisir d’explorer ce tendre sillon.
Je lèche chaque partie ainsi dévoilée. Je plaque autant que je peux ma bouche pour envelopper ton sexe. Je le gobe, je le savoure. Tel un fruit mûr, gorgé de sucre, je le déguste, je le savoure, je m’en délecte. J’enfonce ma langue aussi profondément que je peux dans cet orifice que mes doigts ont préparé. Je savoure...

Tes mains se sont posés sur ma tête, au travers du peignoir. Et ton insistance à plaquer mon visage contre toi à chaque fois que ma langue quitte ton sexe, me fait comprendre que tu as encore envie... Ton excitation booste la mienne.

Je relève la tête. Le peignoir ne couvre plus grand’chose. Ta poitrine me domine.

Une dernière fois, ma langue va chercher au plus profond de ton entre jambe. Je remonte jusqu’à la naissance de tes lèvres. Je m’en échappe, non sans me promettre d’y revenir... plus tard.

J’attends ton nombril. Moins accueillant que ton sexe, certes, mais intéressant. Je continue mon escalade... Je vois déjà les deux sommets qui m’y attendent... Je glisse ma langue entre tes seins. Du bout de la langue je m’achemine jusqu’à leur pointe. Je tourne autour, et je les gobes.

Ce peignoir n'a plus lieu d'être. Tu t'en débarrasses facilement.

- Dis, donc, je n'ai rien demandé... Laisse moi en décider.

Un sourire complice à cette tendre réprimande sera ta réponse. Mais ce qui est fait est fait.

Tu est désormais nue, juste habillée de ce bandeau qui occulte tes yeux. J'en profite à mon tour pour ôter mes vêtements. Enfin, pas tous : je garderai le boxer. Cela me servira de barrière pour ne pas précipiter l'envie que j'ai de toi.

Je te prends dans les bras pour t'accompagner jusqu'au bord du lit où je t'y assieds. Les mains en appuie sur le lit, tu attends. J'hésite un instant, car la position que tu as prise me fait penser que tu lis en moi... Je me ravise et je passe derrière toi sur le lit. Il trahit ma présence et tu tournes la tête pour mieux me capter.

Je saisis un flacon d'huile de massage que j'avais disposé près du lit en t'attendant. J'en verse un peu dans ma main et sur le haut de tes épaules. Au contact du liquide froid, tu sursautes. J'engage alors un délicat massage. Non seulement pour te détendre mais pour avoir un prétexte à caresser ton corps. Je descends le long de tes bras. Je t'invite à te pencher en avant pour profiter de ton dos jusqu'au bas de tes reins. Je m'applique à faire luire chaque centimètre de ta peau. Mais il en reste encore beaucoup.

Je te prends par la main pour que tu te relèves. Un genou sur le lit, tu comprends vite que je voudrais que tu t'allonges. Ton corps abandonné sur le lit, dans toute sa longueur, n'attend que mes mains. Je reprends le massage de ton dos, mais cette fois, juste à la base de tes reins. Je les enserre et je redescends sur tes fesses, douces et fermes. Un peu plus d'huile et je repars dans ma découverte sensuelle. Je vais jusqu'à tes chevilles, d'un trait, en m'assurant de bien caresses l'intérieur de tes cuisses. Tu m'y invites, peut-être inconsciemment, en les écartant un peu. Je te sens détendu et moi, j'adore te faire cet effet. Mais il n'est pas question que tu t'endormes.

Je m'enlève du lit et je te fais basculer sur le dos. Je te contemple, si belle. Je sais que tu vas te demander où je suis, ce que je fais, ce que je prépare après tant d'attention continue. Je le sais, et j'attends...

Tu restes impassible, même si je vois bien que tous tes sens sont de plus en plus en éveil au fur et à mesure que les minutes passent. Sans un bruit, je te saisis par les chevilles et te ramène au bord du lit. J'attends à nouveau, car tu sens l’imminence de la suite arriver. Je laisse ton esprit se questionner : que va-t-il faire ? quelles sont ses intentions ? Où est-il ? Je jubile intérieurement à l'idée de toutes ces questions qui te nt.

Ma est tout autre : je te vois là, magnifique, nue, à ma portée, à ma merci et j'ai terriblement envie de toi. Je vais un peu encore partager avec toi cette attente qui te taraude.

Je m'approche à côté de toi, pas trop près pour que tu ne sentes pas de suite la chaleur de mon corps le long de ton bras. Je me penche vers ta poitrine, ferme, offerte à moi. Le bout de ma langue vient à la rencontre de ton téton dressé. Tu me sens. Je gobe le bout de ton sein tout en le mordillant légèrement. Je glisse entre les deux pour m'occuper de son homologue. Tu agites la tête de part et d'autre. Tu aimerais j'en suis sûr me prendre la tête, dire quelque chose. Mais tu te retiens, à te voir te mordiller les lèvres.

Mes mains viennent caresser ton ventre qui se crispe à chaque contact de mes doigts. Doucement, mes caresses deviennent plus délicates, moins nombreuses. Je commence à m'éloigner. De mes attentions, il ne demeure que tes doigts qui s'accrochent au drap, attendant la suite.

J'ai bien l'intention de profiter de la situation dans laquelle je t'ai mise. Tout aussi discrètement je m'approche de tes jambes, offertes. J'appose mes mains sur l'intérieur de tes cuisses. Je m'approche de ton bas ventre, car tu ne m'attends pas là. J'embrasse cette partie si douce, juste au dessus de ton sexe. Puis j'explore ce pli à la naissance de tes cuisses. Je laisse courir ma langue gourmande sur le haut de tes genoux. Je tourne autour de "toi".

De mes deux mains, j'encadre finalement ton sexe. De mes pouces, je remonte le pourtour de tes lèvres si douces. Je les écartes délicatement pour découvrir ce rose si intense qu'elle dissimule. C'est une invitation au plaisir, au mien comme au tien, auquel je ne tarde pas à succomber. Cependant, malgré ma faim de toi, je me refuse de m'y jeter à corps et à ... langue sans retenue. Partant du plus bas que je peux, le bout de ma langue remonte ce fruit ouvert et gorgé. Huumm.... Une lampée ne suffit pas à étancher ma soif. Je remonte méthodiquement ton sillon. Son suc envahie ma bouche.

A chaque passage, tu ondules, tant pour échapper à mes assauts que pour résister à l'envie de crier. Tes doigts se crispent dans les draps. Tu résistes, car tu sais que tu ne dois pas bouger.

La lutte va être bientôt encore plus inégale. Il est temps que je remonte à la source de ce filet liquoreux. Je m'en suis déjà approché pour mieux le surprendre. Le bout de ma langue s'enfonce en toi puis remonte jusqu'à l'extrémité supérieure de ton sexe. J'y rencontre alors ce délicieux bouton que tu caches précieusement. Je n'ai plus qu'à le prendre entre mes lèvres pour le sucer avec délectation.

C'en est trop pour toi. Tu n'y tiens plus et tu te cramponnes à mes cheveux. Je passe tes jambes par dessus mes épaules et je plonge ma bouche dans cette corbeille au fruit unique. Tu pourras m'accuser de profiter de la situation, et je l'assume. L'expression de ton plaisir exacerbe mon audace et c'est tout ton sexe que je dévore désormais. Tes mains atteignent par hasard l'oreiller que tu t'empresses de placer sur ta bouche : tu laisses échapper un cri long et étouffé. Aurais-je trouvé un point faible ? Peu m'importe. Je continue à te donner ce plaisir qui me comble aussi. Je viens placer un doigts à l'entrée de ton sexe. Tu ne l'as pas encore senti, trop occupée à maitriser tes manifestations tout comme à jouir de ce plaisir. Je n'ai aucune difficulté à m'introduire dans ton intimité. Il l'explore, la fouille, tandis que ma langue vient se placer juste à la base. L'oreiller fait les frais de mon insolence.

Mais toute bonne chose a une fin. Je me redresse. Tu cesses peu à peu de t'agiter. Tu es dans un état d'abandon, les bras légèrement écartés, l'oreiller à terre. Ta jambe est légèrement repliée. Le tableau est touchant. Je ne vais pas m'arrêter là toutefois. Je te laisse reprendre un peu tes esprits... et moi, mon souffle.

Je reviens vers toi pour me mettre entre tes jambes. Je suis juste au dessus de toi. Je sens la chaleur de ton corps. Je descends doucement pour me plaquer contre toi. Je ressens ton cœur qui bat fort, la moiteur de ta peau. Tout naturellement, nos sexes ne sont qu'à quelques centimètres l'un de l'autre. J'ai bien l'intention d'en jouer. Ta main se pose sur ma fesse pour t'assurer de ce que tu as du ressentir : j'ai gardé mon boxer ! Rassurée, peut-être tu me caresses. Certainement pour me faire deviner ce à quoi j'aurais droit si je ne l"avais plus.

Je me relève un peu. Tu en profites pour passer la main entre mes jambes et t'assurer que je suis aussi excité que toi. A la façon dont tu passes ta main, ta découverte te plait. Je me baisse et je prends un malin plaisir à me frotter contre toi en me rapprochant. Je fais quelques poses entre deux mouvements, question que tu ne t'y habitues pas trop... A chaque "contact", tu me presses contre toi de tes jambes ou ta main se presse sur mes fesses.

Et justement, au hasard d'une de ces poses, je retire le boxer qui semble t'agacer. Je ne change rien à mon manège et je me replace au dessus de toi. Je descends doucement vers toi, et mon sexe entre en contact avec toi. Tu es étonné, car tu ne reconnais plus la sensation du tissu. Tu plonges ta main entre nous. Un petit gémissement de satisfaction de ta part accompagne ta découverte.

Tu places tes mains de telle façon d'y accueillir mon sexe sur toute sa longueur. Dans cet écrin, je vais et je viens. Tes doigts s'adapte à la forme et aux mouvements. Ce sexe, tant cherché, si longtemps dissimulé, tu en prends possession enfin. Jusqu'à présent, c'était moi qui te contrôlait. Là, enfin, c'est toi qui me tient.

Tes doigts se font pressant à chaque fois que je m'introduis dans tes mains, et répugne à m'en laisser sortir. Tu as bien suivi les règles de notre petit jeu, je peux bien me plier aux tiennes désormais. Ainsi tenu, je me laisse guider.

Tu as déplacé tes mains juste devant ton sexe. Ton écrin s'est réduit, si bien qu'à chaque fois que je m'avance, mon gland s'introduit un peu dans ton vagin. J'en reconnais la douceur et la texture... Je continue à suivre le chemin que tu m'imposes, guidé... d'une main de maitresse.

Mais je n'ai pas l'intention de me contenter de tes mains, et tu n'espères pas simplement me donner du plaisir avec, aussi expertes qu'elles soient. J'ai joué la surprise depuis toute à l'heure et tu as été à bonne école.

Je m'attends encore à gouter à la douceur de l'antichambre de ton vagin lorsque soudain tu écartes tes mains. Sans aucun obstacle qui entrave désormais mes assauts, je m'enfonce en toi pour mon plus grand plaisir. Et pour t'assurer que je sois bien en toi, tu m'enserres fortement de tes jambes et de tes mains. Je n'ai plus d'issue : mon seul choix est d'aller au plus profond de toi. Ta chaleur intime m'irradie.

Tu m'autorises toutefois à bouger en toi, à explorer ton vagin que j'attendais tant. Mes mouvements sont plus amples si bien que mon sexe sort à chaque fois. Mais ton excitation me permet de revenir en toi sans difficulté. Nous en profitons tous les deux. Arque-bouté sur mes bras tendus, j'accélère le rythme. Fini le jeu, fini les approches : place à notre plaisir. Et je sais qu'il ne sera complet que lorsque tu sentiras ma verge grossir juste avant que je jouisse. Là, tu t'abandonnes enfin à ressentir mon plaisir, à comprendre combien j'avais envie de toi, combien il est bon d'atteindre le plaisir, ensemble...

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